Activité des sectes...
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Re: Activité des sectes...
Mais non, mheu non, l'éducation nationale le fait très bien à ma place...
"Il faut préparé nos enfant à être de bons citoyens...ce faire vacciner et le faire baptiser, etc...même les jeune gens, qui ont bac +4, doivent se remettre a faire des dictées..."
Ils rentrent chez nous, dans nos maison, dans nos sommeils...dans nos frigos et même nos ordures...Ils veulent tout savoir, tous connaître de nous et même contrôler nos pensées...
La France, la plus grande des sectes du mondes !
"Il faut préparé nos enfant à être de bons citoyens...ce faire vacciner et le faire baptiser, etc...même les jeune gens, qui ont bac +4, doivent se remettre a faire des dictées..."
Ils rentrent chez nous, dans nos maison, dans nos sommeils...dans nos frigos et même nos ordures...Ils veulent tout savoir, tous connaître de nous et même contrôler nos pensées...
La France, la plus grande des sectes du mondes !
Re: Activité des sectes...
Avec tous ca, on est pas loin de croire, que tous les foyers qui ne préparent pas leurs enfants à la citoyenneté, sont des sectes en puissance...
Tu pense pas comme nous, tes une secte à toi tous seul...
Tu leur dit qu'il ne faut pas mettre les coudes à tables quand on mange, tes un gourou !!!
Ah, National Socialisme, quand tunous tiens !!!
Tu pense pas comme nous, tes une secte à toi tous seul...
Tu leur dit qu'il ne faut pas mettre les coudes à tables quand on mange, tes un gourou !!!
Ah, National Socialisme, quand tunous tiens !!!
Re: Activité des sectes...
En plus, ils vont permettrent aux grands-parents de siasir le JDE avec facilité !!!!
Paulette et Christian (mes beaux parents) ont dû fêter cela toute la nuit.....
Paulette et Christian (mes beaux parents) ont dû fêter cela toute la nuit.....
Re: Activité des sectes...
...Ils se sont donc préoccupés de ces mineurs "auxquels on vole leur enfance" du fait de l'endoctrinement, des conditions de vie précaire, du manque de suivi médical, de la scolarisation hasardeuse. Ils mettent particulièrement en cause l'"enfermement" imposé par certaines communautés, où les enfants des adeptes vivent dans la crainte du monde extérieur et deviennent incapables de s'y adapter s'ils décident de quitter la secte....
Ne parlerait-on pas des enfants placé ?
Si vous lisez simplement ce texte, en occultant le fait que l'on parle de secte, c'est vraiment ce que l'on vie avec nos petits...
Putain, encore un crédo pour rapter des enfants !
...Ils estiment en particulier, instruits par leur récente visite dans une communauté biblique (Tabitha's place), que le contrôle de la scolarisation de ces enfants est insuffisant car il n'analyse pas les "conditions
d'épanouissement de la personnalité ni la préparation à la
citoyenneté"....
Sa, ca va plaire à GG !
Ne parlerait-on pas des enfants placé ?
Si vous lisez simplement ce texte, en occultant le fait que l'on parle de secte, c'est vraiment ce que l'on vie avec nos petits...
Putain, encore un crédo pour rapter des enfants !
...Ils estiment en particulier, instruits par leur récente visite dans une communauté biblique (Tabitha's place), que le contrôle de la scolarisation de ces enfants est insuffisant car il n'analyse pas les "conditions
d'épanouissement de la personnalité ni la préparation à la
citoyenneté"....
Sa, ca va plaire à GG !
Activité des sectes...
PARIS (AFP) - Activité des sectes: la commission parlementaire au secours des mineurs
19 décembre 2006 - 17:16
Les enfants sont une proie de plus en plus facile pour les sectes et
l'engagement des pouvoirs publics contre les conséquences des dérives
sectaires "s'avère très inégal", selon un rapport publié mardi par une
commission parlementaire qui avance 50 mesures pour protéger les
mineurs.
AFP/Archives - Joël Saget
Des dizaines de milliers de mineurs sont "en situation
de danger" du fait de l'activité des sectes et les pouvoirs publics
font preuve de "négligence" dans ce domaine, ont estimé mardi les
membres de la commission d'enquête en présentant leur rapport
"L'enfance volée, les mineurs victimes des sectes".
"Les sectes en elles-mêmes ne nous intéressent pas", a déclaré le président de la commission, Georges Fenech (UMP, Rhône). "Notre souci ce sont les dérives sectaires et la protection des populations vulnérables",
particulièrement les mineurs.
Ils se sont donc préoccupés de ces mineurs "auxquels on vole leur enfance" du fait de l'endoctrinement, des conditions de vie précaire, du manque de suivi médical, de la scolarisation hasardeuse. Ils mettent particulièrement en cause l'"enfermement" imposé par certaines communautés, où les enfants des adeptes vivent dans la crainte du monde extérieur et deviennent incapables de s'y adapter s'ils décident de quitter la secte.
Pour la commission, l'administration est coupable de "négligence, voire de
complaisance" à l'égard des dérives sectaires. Ils estiment en
particulier, instruits par leur récente visite dans une communauté
biblique (Tabitha's place), que le contrôle de la scolarisation de ces
enfants est insuffisant car il n'analyse pas les "conditions
d'épanouissement de la personnalité ni la préparation à la
citoyenneté". Ils s'alarment aussi du manque de contrôle des organismes
privés de soutien scolaire, dans lesquels peuvent se glisser des
prosélytes.
Ils veulent aussi que soit sanctionné
le refus de vaccination et que le refus de transfusion sanguine ne soit
plus possible (ce qui vise directement les Témoins de Jéhovah). Il
s'étonnent enfin du flou qui entoure la profession de psychothérapeute,
faute d'un décret d'application, ce qui laisse le champ libre aux
gourous.
Mais leur cible principale, à la fois dans le rapport et au cours de la conférence de presse, a été le bureau central des Cultes du ministère de l'Intérieur, service qui attribue le statut d'association cultuelle. Ce viatique donne droit à des exonérations fiscales, mais c'est aussi un certificat de vertu utilisé à des fins de prosélytisme, estime la commission.
Le directeur de ce service, Didier Leschi, a été entendu par la commission
lors d'une des 65 auditions auxquelles elle a procédé. Il avait alors
expliqué les critères d'attribution du statut d'association cultuelle.
Interpellé sur le refus des transfusions sanguines --que le ministère
de la Santé considère comme un trouble à l'ordre public-- il avait dit
ne pas avoir connaissance de plaintes à ce sujet. Mais la commission
s'en tient à une décision du Conseil d'Etat (1985) excluant les Témoins
de Jéhovah du régime des associations cultuelles.
Interrogé mardi par l'AFP, M. Leschi a déclaré que, du fait de son statut, il "ne pouvait pas répondre".
Le rapport de la commission a évidemment soulevé des protestations,
particulièrement de la part des Témoins de Jéhovah qui parlent de
partialité. D'autres associations ont contesté ces travaux au nom de la
liberté de conscience et de culte.
Un haut fonctionnaire estimait mardi --sous couvert d'anonymat-- que les
membres de la commission "ne tolèrent pas les gens différents". "Ils
veulent en fait revenir à la situation d'avant la loi de 1905, quand il
y avait des cultes reconnus". "La question est de savoir ce qu'on
tolère comme altérité dans une démocratie", concluait-il.
19 décembre 2006 - 17:16
Les enfants sont une proie de plus en plus facile pour les sectes et
l'engagement des pouvoirs publics contre les conséquences des dérives
sectaires "s'avère très inégal", selon un rapport publié mardi par une
commission parlementaire qui avance 50 mesures pour protéger les
mineurs.
AFP/Archives - Joël Saget
Des dizaines de milliers de mineurs sont "en situation
de danger" du fait de l'activité des sectes et les pouvoirs publics
font preuve de "négligence" dans ce domaine, ont estimé mardi les
membres de la commission d'enquête en présentant leur rapport
"L'enfance volée, les mineurs victimes des sectes".
"Les sectes en elles-mêmes ne nous intéressent pas", a déclaré le président de la commission, Georges Fenech (UMP, Rhône). "Notre souci ce sont les dérives sectaires et la protection des populations vulnérables",
particulièrement les mineurs.
Ils se sont donc préoccupés de ces mineurs "auxquels on vole leur enfance" du fait de l'endoctrinement, des conditions de vie précaire, du manque de suivi médical, de la scolarisation hasardeuse. Ils mettent particulièrement en cause l'"enfermement" imposé par certaines communautés, où les enfants des adeptes vivent dans la crainte du monde extérieur et deviennent incapables de s'y adapter s'ils décident de quitter la secte.
Pour la commission, l'administration est coupable de "négligence, voire de
complaisance" à l'égard des dérives sectaires. Ils estiment en
particulier, instruits par leur récente visite dans une communauté
biblique (Tabitha's place), que le contrôle de la scolarisation de ces
enfants est insuffisant car il n'analyse pas les "conditions
d'épanouissement de la personnalité ni la préparation à la
citoyenneté". Ils s'alarment aussi du manque de contrôle des organismes
privés de soutien scolaire, dans lesquels peuvent se glisser des
prosélytes.
Ils veulent aussi que soit sanctionné
le refus de vaccination et que le refus de transfusion sanguine ne soit
plus possible (ce qui vise directement les Témoins de Jéhovah). Il
s'étonnent enfin du flou qui entoure la profession de psychothérapeute,
faute d'un décret d'application, ce qui laisse le champ libre aux
gourous.
Mais leur cible principale, à la fois dans le rapport et au cours de la conférence de presse, a été le bureau central des Cultes du ministère de l'Intérieur, service qui attribue le statut d'association cultuelle. Ce viatique donne droit à des exonérations fiscales, mais c'est aussi un certificat de vertu utilisé à des fins de prosélytisme, estime la commission.
Le directeur de ce service, Didier Leschi, a été entendu par la commission
lors d'une des 65 auditions auxquelles elle a procédé. Il avait alors
expliqué les critères d'attribution du statut d'association cultuelle.
Interpellé sur le refus des transfusions sanguines --que le ministère
de la Santé considère comme un trouble à l'ordre public-- il avait dit
ne pas avoir connaissance de plaintes à ce sujet. Mais la commission
s'en tient à une décision du Conseil d'Etat (1985) excluant les Témoins
de Jéhovah du régime des associations cultuelles.
Interrogé mardi par l'AFP, M. Leschi a déclaré que, du fait de son statut, il "ne pouvait pas répondre".
Le rapport de la commission a évidemment soulevé des protestations,
particulièrement de la part des Témoins de Jéhovah qui parlent de
partialité. D'autres associations ont contesté ces travaux au nom de la
liberté de conscience et de culte.
Un haut fonctionnaire estimait mardi --sous couvert d'anonymat-- que les
membres de la commission "ne tolèrent pas les gens différents". "Ils
veulent en fait revenir à la situation d'avant la loi de 1905, quand il
y avait des cultes reconnus". "La question est de savoir ce qu'on
tolère comme altérité dans une démocratie", concluait-il.
Dernière édition par vollorem63 le Mer 20 Déc - 19:13, édité 1 fois
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